La langue officielle est le français, de la franciano, variante de la langue parlée dans l'île de France au début du Moyen Age, au cours des siècles, a été imposée à d'autres langues et variantes de langues parlées dans toute partie du territoire.
Souvent, cette imposition du français a été le résultat de décisions politiques prises à travers l'histoire, avec l'objectif d'un Etat normalisé linguistiquement. En effet, l'article 2 de la Constitution française de 1958 se lit que «La langue de la République est le français [69].
Cet article a servi pour ne pas autoriser l'usage officiel dans le domaine des cultes utilisation des langues parlées en France, jusqu'à ce qu'en 1999 le rapport Cerquiglini établir 75 langues régionales et minoritaires parlées en France métropolitaine et outre-mer. Depuis 2006, 13 d'entre elles sont enseignées en tant que deuxième langue étrangère, facultative dans les écoles publiques, comme le breton, catalan, corse, occitan, basque, alsacien, le tahitien et 4 langues mélanésiennes. Immigration en provenance de l'extérieur du pays, et exclusivement en français les régions de langue, rendant le pourcentage de locuteurs de ces langues est de plus en plus.
Il est l'un des États qui n'ont pas signé la Charte européenne des langues minoritaires. Encore aujourd'hui, certains établissements privés ont cherché à encourager l'utilisation de ces langues, la création de médias, la création d'écoles primaires et secondaires pour enseigner ces langues ou les actes assertive appel pour une alternative politique linguistique.
Souvent, cette imposition du français a été le résultat de décisions politiques prises à travers l'histoire, avec l'objectif d'un Etat normalisé linguistiquement. En effet, l'article 2 de la Constitution française de 1958 se lit que «La langue de la République est le français [69].
Cet article a servi pour ne pas autoriser l'usage officiel dans le domaine des cultes utilisation des langues parlées en France, jusqu'à ce qu'en 1999 le rapport Cerquiglini établir 75 langues régionales et minoritaires parlées en France métropolitaine et outre-mer. Depuis 2006, 13 d'entre elles sont enseignées en tant que deuxième langue étrangère, facultative dans les écoles publiques, comme le breton, catalan, corse, occitan, basque, alsacien, le tahitien et 4 langues mélanésiennes. Immigration en provenance de l'extérieur du pays, et exclusivement en français les régions de langue, rendant le pourcentage de locuteurs de ces langues est de plus en plus.
Il est l'un des États qui n'ont pas signé la Charte européenne des langues minoritaires. Encore aujourd'hui, certains établissements privés ont cherché à encourager l'utilisation de ces langues, la création de médias, la création d'écoles primaires et secondaires pour enseigner ces langues ou les actes assertive appel pour une alternative politique linguistique.
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